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 Claymore last warrior.

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Tunguska
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Tunguska


Messages : 26
Date d'inscription : 22/05/2009

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MessageSujet: Claymore last warrior.   Claymore last warrior. Icon_minitimeMer 17 Juin - 16:43

Une petite fanfiction by me.^^



Autre titre: Claymore: La rage d'une âme détruite.



Chapitre 1: Le début d'une vie.


Un vent sec et chaud engendrait des tourbillons de sable sur les sentiers de terre craquelée où un homme marchait, tenant dans ses bras un étrange ovale de chiffon dans lequel quelque chose s'agitait. Il avait des lunettes argentés luisantes, des cheveux noirs coiffés comme le savant fou qu'il était, une blouse blanche voletant au grès de la chaude brise, un pantalon de tissu simple, un visage charmant aux traits doux et angulaires. Il jeta un œil à ce qui gigotait dans le linceul avec un sourire amusé et attendri.

_Homme: Salut petit monstre. On ne dort toujours pas après dix heures de route mm? Tsss (en pensée) Quelle idée de récupérer un yoma juste après sa naissance en tuant sa femelle de mère? Ais-je au moins ce dont j'ai besoin?: Fouille dans sa besace: Oui tout y est.) Je vais te trouver une famille d'accueil et tu verra ce sera mieux que... hm, vivre parmi les monstres, comme un monstre.

Il se présenta au village. Ici ils tuaient eux-mêmes les rares yomas s'y aventurant mais le problème fut que cette région était ravagée par de nombreuses guerres entre les dirigeants avides de pouvoir. Les villageois se demandèrent ce qu'il pouvait bien tenir dans ses bras sans se poser plus de questions. D'une façon ou d'une autre les humains ne se posaient jamais de questions, ils se contentaient d'agir de façon bête et méchante selon les préjugés, idées reçues et leur éthique personnelle plutôt que d'aller de l'avant et se questionner sur ce qui serait mieux ou pas ou bien sur des expériences à tenter.

L'homme marchait, cette petite bestioles vivante dans les bras, sachant que cette communauté comme bien d'autres n'accepterait pas la moindre différence, pas la moindre idée ou expérience sortant de leur «norme». Les habitant haïssaient les yomas, l'homme aussi, certes, mais cela l'empêchait-il de se poser des questions? D'aller de l'avant? Qu'y avait-il de beau dans ce monstre qu'il tenait au creux de son bras? Cette chose qui agitait ses petites mains et découvrait le monde l'entourant? La vie. Il vivait, il faisait parti intégrant d'un cycle et d'un miracle inexpliqué.

Il venait de naitre et c'est ça qui était si beau. Pas ce qu'il était mais ce qu'il représentait comme n'importe quelle créature sur terre peu importe le monstre qu'il puisse être. L'homme s'arrêta finalement devant une porte, son «flaire» ne le trompait jamais. Il toqua et elle s'ouvrit timidement, un homme jeune et vigoureux se présenta alors à l'inconnu qui leur tandis le «bébé» yoma.

_Étranger: Occupez-vous de lui et je vous paierai quelque lingots d'or...

Une forme massive et noire, un spectre au dos barré d'une lame sombre gigantesque coupa net le début de conversation. La crainte se lisait dans le regard de l'homme derrière la porte, l'étranger lui ne réagissait guère et écouta sa voix profonde et grave d'un calme imperturbable.

_Spectre: D'ici quelques années je serai chargé d'éduquer ce yoma et lui donner une certaine instruction. Nous vairons si il sera un être humain.

_Etranger: Hm, un humain? Nous devrions déjà attendre d'avoir la preuve qu'il peut vivre parmi les humains après nous pourrons «juger» si oui ou non il nous est possible de le considérer en tant que tel... N'est ce pas, Griffin?

_Grffin: Très bien, j'espère que cette famille acceptera de l'élever et si est-ce le cas je regrette que ce soit en échange d'une somme d'argent... Mais je doute que l'on puisse trouver une famille d'assez évoluée dans son niveau de conscience pour accepter de tenter cette expérience sans qu'il y ai besoin de payer pour...

_Homme (exaspéré): Laissez-le moi. Je vous promet de faire mon possible et de m'occuper de lui comme si c'était mon propre fils je vous en fait le serment! Gardez cet argent pour vous...

L'étranger tendit un lingot d'or avec un grand sourire satisfait.

_Etranger: Et bien je vous donne cet or en signe de bon cœur et de bonne volonté puisque vous même avez franchis le pas mais sachez ceci: Que ce soit la bonne volonté, la gentillesse ou tout autre chose ça n'a guère de valeur car voyez-vous... Certaines choses ne se vendent ou ne s'achètent pas, elles ne peuvent que s'offrir et être offertes. Je vous remerci d'accepter. Bien, je vais de ce pas...

_Grffin: J'en ai déjà parlé au maire et il n'a pas vraiment aimé mais étant donnée que je lui ai promis de protéger les habitants en cas d'attaque, ce qui éviterait à des humains de périr en tuant des yomas, il a finalement donné son consentement à contrecœur.

_Etranger: Tu as toujours un coup d'avance mon ami, bien, il est temps de nous quitter, une sentinelle veillera à ce que personne ne soit tué par ce yoma (désigne le monstre dans le linceul de soie.)

Grffin disparut aussi vite qu'il était apparu et l'homme repartit d'où il venait sans demander son reste. Il l'ignorait mais dès cet instant bien des choses allaient changer. Depuis un siècle l'organisation avait disparue, laissant derrière elle un nombre sans précédant d'êtres éveillés qui se reproduisaient et se multipliait sans être freinés. Les yomas se multiplièrent et les claymores avaient disparues. La grande ville utopique fut détruite par de nombreuses attaques des être éveillés ce qui détruisait le dernier rempart de l'humanité contre les monstres et les démons.

Le jeune homme tenait le petit monstre dans ses bras, fixant ses yeux jaune brûlant et pétillants de vie. Comment une chose aussi fragile, aussi vulnérable et faible pouvait un jour devenir une machine à tuer dévorant les entrailles des humains? Il décida toutefois de tenter tant bien que mal d'en faire son «fils» malgré lui. Sa femme apparut alors dans la pièce faisant office de sale à manger, décorée de simples meubles dégageant un certain charme et de douces odeurs de bois coupé. Elle sursauta en apercevant le yoma dans les bras de son homme.

_Jeune femme: Mais enfin, que t'arrive-t-il? Tue-le, vite! C'est un yoma, que te prend-t-il?!

_Jeune homme: Donnons lui sa chance après tout ce n'est qu'un nouveau-né, on ignore si il va tuer quelqu'un et nous vairons bien...

_Jeune femme: Mais! Bien sûr qu'il...

Les pleurent d'un bébé retentirent, la jeune femme, fine et douce partit chercher sa fille de deux mois. Quand elle revint en la câlinant elle s'assit sur une chaise, commençant à lui donner le sein. Le yoma lui aussi se mit à pleurer, cela dura plusieurs minutes et le jeune homme n'arrivait pas à le calmer jusqu'à ce que sa femme se lève et finisse par le prendre dans ses bras. Il se calma mais n'arrêta pas pour autant de pleurer. Elle soupira et finit par lui donner le sein à lui aussi.

_Jeune femme: (exaspérée) Entendu, je lui donne sa chance! Apparemment ça marche comme un autre «bébé» avec ce monstre... Il a un nom? Jin?

_Jin: (embarrassé) Non, nous devrions lui en trouver un... Nissa?

_Nissa: Pourquoi pas... Zurian?

Jin: Pourquoi pas.

Il se pencha et prenant sur lui dans un gros effort, passa son doigt sur la joue du yoma qui le saisit en le fixant des ses yeux jaunes comme si cet homme fut son père. De solides liens commencèrent à se nouer entre eux. Dorénavant il serait leur fils, ils s'occuperaient de lui et l'aimeraient comme leur propre enfant.

Ainsi les années s'écoulèrent, les villageois mirent du temps à accepter cet être inhumain mais ils finirent finalement tous par le tolérer chez eux mis à part quelques abrutis récalcitrants qui eux souhaitaient cracher sur sa dépouille. Il présenta très tôt des prédispositions pour le maniement des épées et son «père» consentit à l'entraîner malgré les inquiétudes de sa femme. Un instructeur arriva très rapidement et commença à apprendre bien des choses à Zurian qui, à son grand étonnement, apprenait aussi bien même mieux qu'un humain et comprenait assez vite la plupart des cours.

Il en profita pour instruire les enfant du village, ainsi le savoir était accessible à tous gratuitement et les habitants appréciaient ce sombre étrangers qui se montrait aussi polit que courtois. Toutefois beaucoup détestaient Zurian car ce n'était pas un humain mais personne n'osait l'attaquer physiquement de crainte d'être dévoré. Le jeune yoma en proie à nombre d'imbéciles préférait s'isoler tranquillement plutôt que d'entendre les idioties de ces bougres de mécréants peu évolués.

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Tunguska
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Tunguska


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MessageSujet: Re: Claymore last warrior.   Claymore last warrior. Icon_minitimeMer 17 Juin - 16:44

Comme à son habitude le jeune monstre lisait un livre sur le vieux pont en pierre du village, écoutant le chant de la rivière, berçant ses siestes et couvrant ses lectures intempestives.

_Hé! Regardez ce que je vois! C'est lui le monstre! Le yoma! Les gars on va se le choper?
_Ouais mon père il les aime pas il faut les tuer allons-y!

Le groupe de morpions s'approcha du jeune Zurian âgé alors de dix ans, lisant paisiblement un livre adossé à un mur sur le pont du village. Leurs ombres apparurent et masquèrent les pages du précieux ouvrage.

_Chef: Alors comme ça on aime lire sale monstre?!

L'un des morveux lui arracha sa lecture des mains et le lança dans la rivière, ce qui déplut au yoma qui jeta l'imbécile au même endroit avant d'être cueilli par une pluie de poings et de pieds. Tout s'arrêta quand le meneur reçu un direct du droit dans la tête et deux autres mis à mal. Deux enfants du même âge que Zurian le tirèrent à leur côté derrière eux. L'un des bambins tourna la tête dans sa direction, le regardant du coin de l'œil, un sourire amical. Il avait les cheveux ébouriffés, le visage d'un enfant sympa et la tenu d'une graine de pseudo rebelle. L'autre semblait bien plus calme, réfléchissait à la situation présente et restait de marbre. On aurait dit un samurai se préparant à l'attaque.

_Zurian:...?

_Jeune fougueux: T'inquiète pas on est là, ces idiots veulent pas te connaître mais moi tu m'intéresse!

_Jeune calme: Ouais c'est vrai on va pas les laisser te taper parce que tu leur a rien fait!

_Zurian: Peut-être qu'ils ont raison, on est pas pareil...

Les deux «sauveurs» soupirèrent, les deux groupes se faisaient face, prêts à se battre chacun pour sa cause, chacun dans son coin et sur sa position. Le chef de bande fusillait Zurian du regard, il le haïssait et ne raterait pas une occasion de lui faire du mal.

_Chef:(moqueur) Tu défends les monstres toi?

_Jeune fougueux: Ben ouais attend lui il est sympa et pis personne ne lui en veut d'avoir fait du mal! Il est gentil quoi, et moi j'aime les gens comme ça!

_Un partisan du chef: Mais il est pas comme nous! C'est pas un humain les grands y disent qu'il va nous manger!

_Jeune calme: (moqueur et ironique, à Zurian) Tu as faim? Non? Je t'invite à manger mes parents eux y t'en veulent pas d'être comme ça.

_Jeune fougueux: Hé! C'est moi qui devais l'inviter! Pour faire connaissance! Il est gentil en plus et ses parents aussi!

_Jeune calme: Ouais mais moi je veux le connaître et tout!

_Jeune fougueux: Mais moi aussi figure-toi et pis il peut être un bon copain!

_Zurian: Et si je vous invitais chez moi? Ben oui comme ça on ferait connaissance tous les trois! Et pis je suis tout seul et merci de ce que vous faites c'est...

_Jeune fougueux: Mais non dis pas merci c'est normal d'aider les gens qui ont besoin d'aide. Plus tard moi je serai fort pour aider maman et papa à forger des épées et faire les champs et je deviendrai le meilleur forgeron!

Lassé de cette conversation puérile le groupe de jeunes crétins se dispersa, le chef jeta un dernier regard haineux à Zurian avant de partir. Les deux enfants se présentèrent: Rudo et Jiro, deux noms très proches qui les avait réunit malgré leur tempérament très opposés. Suite à quoi les parents de Zurian furent surpris et contents que leur fils adoptif ai trouvé des copains malgré sa «différence». Ils passèrent tout l'après-midi à jouer dans la forêts, Zurian portant son épée sans la brandir sauf contre d'éventuels grandes plantes comme si ce fut des dragons ou des chimères à combattre avec hargne et courage.

Quant il dégainait les deux autres restaient en retrait, étonnés que cette lame longue et large que tenait leur ami, bien trop longue pour un enfant et utilisable pour un adulte. Ils étaient admiratifs devant une telle force cachant un entraînement intensif. Par moments et de plus en plus souvent un être sombre venait rendre visite à Zurian plusieurs jours durant puis repartait dans la forêt. Ils continuaient de jouer sans se poser tant de questions, ce n'étaient que des enfants après tout et ils ne se posaient pas autant de questions comme les adultes.

Ainsi les mois s'écoulèrent paisiblement jusqu'au jour où les choses changèrent radicalement. Ils jouaient dans la forêt avec insouciance quand un yoma leur barra la route alors que le soleil déclinait à l'horizon au retour vers leurs maisons respectives. Le monstre fut tout d'abord surpris par la présence d'un de ses congénères avec des humains puis passa à l'attaque. Son bras levé, les griffes prêtes à décapiter le jeune Jiro qui avait perdu son éternel sang-froid. Zurian dégaina et hurla, les yeux brulant de colère.

Le yoma esquiva en partie le coup qui lui entailla le torse. Zurian chargea, toujours aussi énervé et eu droit à un revers qui l'envoya bouler contre un arbre. Le monstre avança dans sa direction d'un pas lourd, menaçant. Il se prit une pierre en plein dans l'œil, Rudo armait le second projectile dans sa fronde. Trop tard le yoma était déjà sur lui, lançant son bras à pleine vitesse droit en direction du ventre de sa cible quand une lame le transperça de par en par, l'arrêtant dans son élan. La lame tourna sur elle-même ce qui infligea une douleur gênante au yoma.

Se retournant il prit Zurian par la jambe et le projeta de toutes ses forces contre un gros tronc d'arbre, il en eut le souffle coupé, crachant le sang quand une douleur lancinante lui traversa l'estomac. Le monstre l'avait empalé contre la tronc comme un poulet. Il se tourna en direction de Jiro quand pour la seconde fois consécutive une pierre toucha son immonde fascié déformé. Cherchant sa cible et la débusquant en train d'escalader un arbre le monstre fondit sur lui.

...plus loin, bien plus loin dans le désert...

Le vent grondait, une forme noire et massive se tenait entourée d'un yoma, d'un claymore mâle, d'un yoma aux yeux argenté et d'un claymore aux yeux de yoma. Leur yoki gigantesques brûlait l'air sifflant autour d'eux et faisait trembler la terre, éjectant des rochers dans les cieux. Leurs yeux virèrent brutalement de leur couleur initiale au orange, les corps se déformaient, grossissaient, s'armaient de lames, de cuirasses de roc et de pointes mortelles. Puis les monstres aux pouvoirs proches d’un abyssale faibles (Riful, Eslay etc....) S'apprêtèrent à passer dans le feu de l'action, laissant leur cible libérer ses propres pouvoirs.

_Claymore mâle éveillé: Alors de quoi as-tu peur yoma?! Tu es l'un des derniers instructeurs, le dernier rempart contre les forces sombres et les derniers utopistes!

_Spectre (Griffin): Hm, je vois, cette fois la situation est un peu plus sérieuse, ça ne plaisante pas et je n'ai probablement pas droit à l'erreur...

Peu à peu des tourbillons verdâtrés s'enroulèrent autour du yoma habillé de vêtements sombres comme la nuit et au dos barré de son immense épée noire aux tranchants luisants. Le yoki sembla exploser dans un calme silencieux inquiétant, puis ses yeux flamboyant passèrent au orange. Des craquements retentirent, et une tornade d'énergie orangée déchira le ciel, les quatre agresseurs restèrent ébahis face à une telle puissance.

_Spectre: Mon berserk est relâché à 20%, mes pouvoirs à 30% et comme vous le savez leur quantité n'est pas proportionnelle sur 100% mais tant à augmenter. Là c'est comme si j'étais à 90% avec mes pouvoirs... Plus ça monte plus la différence et élevée... Je suis le plus vieux et le plus puissant berserker vivant, je contrôle mieux que personne ma rage avec 76% de limites assurée pour le berserk et 94% de limites de pouvoir à libérer... Toujours envie de vous battre ou je vous tue sans que l'on m'oppose la moindre résistance?

Les révélations du guerriers finirent d'achever les êtres éveillés qui s'étaient cru malin en s'attaquant à ce berserker. Ils en étaient jadis et avec le temps avaient oubliés à quel point il serait dangereux de s'en prendre à un guerrier. Le combat débuta et la région fut rayée de la carte dans une succession d'explosions et de déflagrations dévastatrices ...

Loin de là un autre affrontement avait lieux. Le yoma tenait Rudo par la cheville, un immonde rictus déformant son affreux facié. Il écarquilla les yeux, sentant un yoki monstrueux loin d'ici, puis revenant à ses moutons il ouvrit grand la gueule, prêt à planter ses dents à moitié pourries dans le ventre du jeune garçon. Un cri retentit, Zurian chargea d'un fendu, coupant un bras au monstre qui lâcha prise pour le lacérer mais l'épée trancha l'autre bras. Quant il voulut donner un coup de tête à son ennemis Zurian leva sa lame et hurla de fureur dans un cris déterminé, abattant son arme sur le crâne du monstre et le coupant en deux dans des geyser de sang violacé.

...

Loin de là dans le désert dévasté et déchiré, crevassé de plais béantes déchiquetées, une forme noire se tenait sur une pointe escarpée, son immense épée en main, calme et imperturbable. Il n'était qu'en partie surpris que ce yoma s'en soit sorti vivant face à un autre bien plus fort malgré sa faiblesse. Un yoma bien plus faible que les autres, capable de les détruire par sa force qu'il tirait de son humanité acquise en compagnie des humains.

Les trois enfants eux retournèrent chez leurs parents sans révéler la terrible aventure qu'ils avaient vécus dans la forêt. Zurian, lui, avait trouvé une raison d'être. Protéger le village et ses habitants même si il n'était pas comme eux au moins il serait peut-être mieux accepté si il rendait service à ces gens qui le haïssaient tant à cause de sa différence.
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